Iphigenia S. Hart ⇒ Crédits Kit : Moi même ⇒ Rouleaux : 4 ⇒ Autre Prénom : Sixtina ⇒ Âge Perso : 17 ans ⇒ Statut de Sang : Sang mêlé ⇒ Profession : Etudiante ⇒ Année : 8e année - études générales
| Sujet: Honestly Hyped-up Kid Mar 30 Juil 2019, 22:51 | |
| Iphigenia S. Hart
Nom • Hart Prénom(s) • Iphigenia “Jenny” Sixtina Date de naissance • 3 Juin 2004 Origine • Anglaise, élevée aux Etats-Unis ge • 17 ans Statut Sanguin • Sang Mêlé Baguette • Bois de cèdre, crin de licorne, 23cm, rigide | Maison • Gryffondor (je sais pas si c’est encore d’actualité en cycle supérieur !)(A valider par le Choixpeau) Année • 8e année, Etudes Générales Epouvantard • Des cafards géants Patronus • un Lièvre Familier • Aucun Précisions ? • Iphigenia est hyperactive. |
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••• MON HISTOIRE ••• CAR JE SUIS UNIQUE C’est bientôt à moi, c’est bientôt à moi, c’est bientôt à moi !
“Mes parents sont pâtissiers !”
Plus que quatre, sois patience, plus que que quatre.
“Maman Sophie est docteur, et Maman Amélie est avocate !”
Trois autres et c’est à moi, il faut attendre, c’est bientôt.
“Mon Père il est plombier et-
- MOI MON PÈRE C’EST UN SORCIER.”
...Flûte.
“Iphigenia ! Ce n’était pas ton tour de parler. Tu es punie, va au fond de la classe.”
La classe se secoua d’un rire commun, ce qui n’était vraiment pas très gentil. Iphigenia traîna ses petits pieds jusqu’à la table à l’écart près du mur du fond, et s’installa à la chaise unique placée devant. Puis se releva, et se rassit plus confortablement. Sauf que ce n’était toujours pas super, alors elle se releva et-
“Iphigenia !” Elle tressaillit. “Tu t’assois, les deux pieds par terre, les deux mains sur la table, tu regardes le mur et tu réfléchis à tes actions.”
La petite obéit en retenant un soupir. Je sais que j’ai tort. J’aurais du attendre. J’ai même pas pu parler de Maman en plus… Elle leva la main pour se gratter la joue avant de se souvenir qu’il fallait garder les mains sur la table. Ah. Mais ça gratte. Mais je suis punie. Faut pas que j’y pense. Même si ça gratte. Concentrée sur ne pas bouger sa main, elle ne fit pas attention à son pied qui tapotait par terre. C’était pas poli en plus, ce que j’ai fait, j’ai coupé la parole de Cynthia. C’est trop bête. Faudra que je m’excuse à la récré. C’est bientôt la récré ? Y’a pas d’horloge dans la classe. C’est nul. J’aime bien les horloges, surtout les grosses où on voit tout ce qu’il se passe. Il faut que je demande à Maman si on peut ouvrir encore la grosse horloge du salon. Combien il y avait d’engrenages déjà ? Je me souviens plus, attends, je vais essayer de recompter, y’en avait un gros comme ça, et deux autres dessus en travers ça fait trois, et un qui partait de chaque coté donc ça fait, quatre, cinq-
“IPHIGENIA !”
La voix de la maîtresse la tira de ses pensées et elle se rendit compte qu’elle avait avait un pied sur la chaise, l’autre sur un des barreau de la table, et que ses deux mains étaient en l’air, figées au milieu de leur reconstitution du mécanisme de l’horloge. L’enfant rougit et se remit à sa place. Heureusement elle n’eut pas à se concentrer très longtemps pour rester immobile, la sonnerie de la récréation la libéra rapidement.
“Iphigenia, avant de sortir, viens me voir s’il te plait.”
Quoi encore… De mauvaise grâce elle s’approcha du bureau de la maîtresse, marchant contre le courant des enfants pressés de sortir. Une fois la classe vide, Madame Smithson soupira et secoua la tête. Et voilà c’est reparti… Iphigenia regarda ses chaussures, se préparant au discours habituel.
“Tes parents ne t’ont pas parlé du Code du Secret Magique ?”
Iphigenia releva immédiatement la tête, sa bouche formant un petit o surpris. L’adulte attendant visiblement une réponse de sa part, la petite secoua la tête, tirant un nouveau soupir de son enseignante.
“C’est très irresponsable de leur part ! Bon. Il va falloir que je leur parle. Je crois que j’ai le numero de tes parents sur une des fiches quelque part… Ah voilà. En attendant Iphigenia, la magie et les sorciers, il faut que tu gardes ça pour toi. C’est important.
- Pourquoi ?
- C’est un peu long à expliquer. Je vais prendre rendez vous avec tes parents et on en parlera tous ensemble, tu comprendras mieux pourquoi.
- Pourquoi vous ne m’expliquez pas maintenant ?
- Quelqu’un pourrait nous entendre, il faut être prudent. Est-ce que tu peux me promettre de faire attention jusqu’à ce qu’on puisse t’expliquer ?”
L’enfant la regarda dans les yeux, considérant sa question, et ne voyant que de la sincérité un peu inquiète sur le visage de Madame Smithson, elle acquiesça. Celle ci se détendit visiblement.
“Très bien. Merci, Iphigenia. Tu peux aller jouer maintenant.”
- - -
Dès le soir même, Iphigenia et Dorothy, sa maman, dinaient avec Madame Smithson. La conversation entre les deux adultes était plutôt barbante jusqu’ici, et l’enfant préféra faire des formes avec sa purée plutôt que les écouter, tendant l’oreille de temps en temps juste pour vérifier qu’elles ne parlaient pas de trucs intéressants. Elle les soupçonnait d’avoir déjà discuté entre elles avant le dîner, vu que Madame Smithson ne s’était pas étonnée une seule fois de l’absence du deuxième parent. Et évidemment elles ne l’avaient pas inclue. Elle fit la moue en s’affaissant dans son siège jusqu’à avoir les yeux quasiment à la hauteur de la table.
Dorothy remarqua visiblement l’ennui et l’humeur de sa fille car elle se leva en déclarant :
“Bon, et si on passait au dessert et aux discussions sérieuses ?”
Iphigenia se redressa à la mention des deux choses qui l’interessaient le plus à ce moment, et Madame Smithson sourit en hochant la tête.
- - -
“Mais comment on sait si moi je suis une sorcière ?”
Dorothy étouffa un rire et Iphigenia la regarda avec confusion.
“Chérie, quand tu étais bébé tu faisais disparaître tous les pots de nourriture que tu n’aimais pas. Tu ne t’en souviens sûrement pas, et tu n’as pas eu d’accident magique depuis, mais moi je m’en souviens très bien.
- Oui mais j’étais bébé ! Si ça se trouve ma magie est partie et je suis comme Madame Smithson, une, euh, craque-folle !
- Cracmolle, Iphigenia.”
Madame Smithson avait l’air un peu gênée, mais n’était pas méchante dans sa correction.
“Pardon. Mais du coup, c’est possible ?
- Il est rare que la magie disparaisse comme ça sans raison, donc je doute que cela soit ton cas. La magie accidentelle arrive plus fréquemment aux très jeunes enfants, et parfois même elle ne manifeste pas du tout tant que tu n’as pas tenu une baguette dans tes mains. Ca arrive.
- Ah bon ? Mais alors comment vous avez su que vous étiez, euh, comme vous êtes ? Et Maman ? Peut être que si on lui donnait une baguette elle serait une sorcière aussi !
- C’est plutôt simple, vraiment. Toutes les écoles de sorciers ont un registre magique, très confidentiel, sur lequel s’inscrit automatiquement le noms des enfants doués de magie qui sont affectés à leur école. L’année de leurs onze ans, ces enfants reçoivent une lettre, même les enfants comme ta maman nés dans des familles Non-Maj. Mais ni elle ni moi n’avont recu de lettre, donc nous ne sommes pas des sorcières.
- Et si ils se sont trompés ?
- Ils ne se trompent pas, c’est de la magie, c’est infaillible.”
Iphigenia n’était pas convaincue, mais n’insista pas.
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Dorothy et Celine - Madame Smithson - se lièrent d’amitié, et cette dernière se trouvait très régulièrement chez les Hart même bien après qu’Iphigenia ne soit plus son élève. Celine donnait des petits cours sur l’Histoire de la magie, sur les créatures magiques, les traditions et quelques conseils d’étiquette, et la jeune fille buvait la moindre de ses paroles. Au moins ces cours là se passaient bien. A l’école régulière, il lui était très difficile de suivre, elle trouvait presque tout très ennuyeux et n’arrivait pas à se forcer à apprendre. Ses notes étaient en dent de scie dans presque toutes la matières. A neuf ans on l’envoya chez un pédopsychologue, et on déclara qu’elle avait un Trouble de Déficit de l’Attention avec Hyperactivité. Rien d’insurmontable, on lui expliqua, juste que son cerveau avait des règles différentes que ceux des autres, et qu’il fallait composer avec.
Iphigenia s’en fichait bien, elle n’avait qu’un seul but : être une sorcière. Pendant des années elle guettait le moindre signe de magie accidentelle. Celine faisait de son mieux pour la rassurer et la convaincre que même si elle n’avait finalement pas de magie que ce n’était pas la fin du monde, mais ça lui rentrait par une oreille et sortait par l’autre. Certes, elle n’avait pas moins d’amour et de respect pour sa mère et Céline juste parce qu’elles n’étaient pas magiques. De la même façon, elle n’avait presque que du mépris pour son père dont elle ne savait rien à part qu’il était un sorcier (sa seule qualité) et qu’il les avait abandonnées sa mère et elle à sa naissance, pour repartir en Angleterre en les laissant aux Etats-Unis. Mais ça ne changeait pas son intime conviction qu’elle était bel et bien magique et que son destin était d’aller apprendre la magie. Après tout elle était terriblement nulle à l’école normale, c’est bien que sa place était ailleurs, non ?
Malgré l’absence de magie accidentelle, le matin de ses 11 ans elle reçut ses lettres d’admission aux écoles de Poudlard et d’Ilvermorny. Jenny hurla de joie et dansa dans tout l’appartement, pleura un peu de soulagement de bonheur puis re-hurla un coup en sautant partout. Elle fit presque renverser son café à Celine - qui vivait avec les Hart depuis presque deux ans maintenant,après qu’elle et Dorothy aient enfin avoué leurs sentiments l’une pour l’autre - en lui secouant le bras pour qu’on lui achète une baguette sur le champs.
- - -
“Tu es sure et certaine que tu veux aller à Poudlard ? Tu as eu la lettre pour Ilvermorny, tu peux toujours changer d’avis tu sais. Ce n’est parce que Céline et moi déménageons au Royaume Uni que tu ne peux pas faire tes études ici. Il y a plein de moyens de transports sorciers que tu pourrais utiliser, ça ne poserait pas de problèmes, trésor.”
Dorothy avait reçu une incroyable promotion quelques jours après la reception des lettres d’Iphigenia. Elle avait quittée son Angleterre natale pour faire ses études d’ingénieur aux Etats Unis et finalement y rester quinze ans. Cette offre était sortie de presque nulle part, mais à cheval donné on ne regarde pas les dents, et elle avait assez vite accepté après en avoir discuté avec Céline et Iphigenia. Ca arrangeait bien la jeune fille qui se demandait depuis qu’elle avait lu les lettres comment elle allait demander à sa mère si elle pouvait aller à Poudlard. C’est un vrai miracle. Peut être était-ce la magie elle-même qui voulait qu’elle aille en Angleterre.
“Oui je suis sûre Maman !”
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Jenny regardait avec émotion le diplôme de fin de cycle secondaire qu’elle tenait entre ses mains. Sept années à Poudlard étaient passées en presque un éclair, avec leurs hauts et leurs bas, et l’adolescente se trouvait pour la dernière fois de cette année dans son dortoir de la tour Gryffondor. Elle avait été somme toute une bonne élève, grâce au travail qu’elle fournissait et aux potions que l’infirmerie mettait à sa disposition quand son trouble de l’attention la freinait trop. Elle avait eu la chance d’être l’Attrapeuse de Gryffondor ces deux dernières années, ce qui lui avait amené une vague d’attention dont elle n’avait pas trop su quoi faire. Elle s’était faite beaucoup plus d’amis que ce qu’elle aurait jamais cru. Sa vie sentimentale en revance avait été un calme plat, à son grand malheur. Ca n’empêchait pas les dernières années d’avoir été les meilleures de sa vie.
Oh purée quelle heure il est ??
Il était tard.
Après un dernier regard fier à son diplôme, elle le rangea soigneusement dans sa malle en désordre, y balança les dernières bricoles qu’elle avait à ranger, puis la boucla et la fit léviter derrière elle en dévalant les escaliers. Elle n’eut pas le temps de se retourner et regarder son école chérie avant d’être montée dans le train en nage, mais s’autorisa un instant pour la voir s’éloigner par la fenêtre.
A l’année prochaine, Poudlard. Sois sage.
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••• CARACTÈRE ••• JE SUIS COMME ÇA Jenny est terriblement tête en l’air, constamment en retard, et peut se perdre dans ses pensées littéralement au milieu d’une phrase. Sa tête va très vite, il peut lui arriver de sauter trois étapes quand elle explique quelque chose ce qui rend son raisonnement dur à suivre, de la même façon qu’elle est du genre à ouvrir des parenthèses, dans des parenthèses, dans des parenthèses…. Parfois sans jamais en fermer certaines.
Prendre des décisions réfléchies peut prendre beaucoup de temps pour elle car là où la plupart des gens auront juste à se demander “est-ce que je veux faire ça, ou est-ce que je préfère ça ?”, un choix entre deux variables, Iphigenia devra répondre à une trentaine de questions - dans les bons jours - du style “est-ce que je veux manger ces fraises, est-ce que quelqu’un d’autres voudrait les manger aussi, est-ce qu’elles sont assez mûres, combien est-ce que je peux en prendre dans mon assiette sans avoir l’air d’une morfale, sans que ça déborde de mon assiette, est-ce que je vais avoir mal au ventre, est-ce que c’est la saison des fraises, où elles qu’elles ont poussé ?...” et ainsi de suite. Les contre-pendants de ça c’est qu’une fois qu’elle a pris une décision sur quelque chose elle ne revient pas dessus à moins qu’on lui montre exactement pourquoi elle devrait se fatiguer à repenser sa décision, et aussi qu’il lui arrive parfois de prendre des décisions vraiment stupides lorsqu’elle ne se sent pas l'énergie de répondre aux questions et choisis au hasard. Malheureusement l’obstination une fois qu’elle a pris une décision s’applique de la même façon aux choix intelligents qu’aux choix débiles.
L’hyperactivité fait qu’elle a plus d'énergie que la moyenne des gens, mais l'handicape également dans l'exécution de taches basiques. Certaines choses lui seront exceptionnellement aisées si elle s’y intéresse - l’Arithmancie est un bon exemple - là où d’autres, pourtant simples, comme se brosser les dents tous les jours ou faire ses devoirs à l’avance lui demande dix fois plus d'énergie que la plupart des gens. Parfois ça veut aussi dire regarder un tas de linge sale, savoir qu’il faut le nettoyer et le ranger, et être pourtant incapable de le faire, comme si elle oubliait comment on fait.
Son estime d’elle même varie beaucoup d’un jour à l’autre. Elle fait de son mieux pour être une force positive dans le monde, mais il lui est très difficile d’être contente de ce qu’elle fait et de ce qu’elle est. Comme elle a du mal à s’auto-valider, elle cherche cette validation auprès des gens qu’elle aime et/ou respecte. Ce sont les encouragements de ses proches et de ses enseignants, parfois plus que sa propre obstination, qui l’ont empêchée de laisser tomber ses efforts dans ses études quand ça devenait trop difficile.
Jenny se trouve difficile à vivre - et à aimer - et est donc terriblement reconnaissante à ses amis et à sa famille, qu’elle aime et couvre d’affection dès qu’elle y pense. Mais comme elle a cette opinion d’elle même, elle a du mal à approcher des gens qu’elle ne connaît pas, et quand elle le fait elle cache sa gêne et sa timidité par des blagues maladroites ce qui fait qu’on ne la prend pas toujours au sérieux.
minimum. |
••• PHYSIQUE ••• JE VOUS PLAIS ? Les traits caractéristiques de la Jenny sauvage sont : de longs cheveux bruns rarement bien coiffés, une franche qu’elle se coupe elle même, une peau très pale, de grands yeux bleu clair pétillants et un sourire maladroit. Sur son petit nez on trouve souvent de lunettes dont elle n’a besoin que si elle a beaucoup de lecture à faire, mais qu’elle oublie régulièrement d’enlever. Elle mesure 1m72 mais on le remarque rarement car elle ne se tient pas très droite et est tout le temps avachie quand elle est assise.
Son médecin de famille a dit un jour que le corps d’Iphigenia était tout aussi hyperactif que sa tête. Elle a beaucoup de mal à rester immobile, et même lorsqu’elle ne bouge pas son corps consomme une énergie monstrueuse, comme si ses cellules elles-mêmes avaient la bougeotte. Il en résulte un corps sec, naturellement musclé, qui peut oscille facilement entre le svelte et le maigre pour peu qu’elle oublie de manger quelques fois. Pour maintenir sa santé, elle doit manger beaucoup et équilibré, car son corps n’a qu’une capacité de stockage de graisses très limitée. Quand elle saute des repas c’est directement sa masse musculaire qui baisse, et son système immunitaire perd fortement en efficacité si elle accumule trop d’oubli dans une période courte.
Le sport a toujours été un moyen pour elle d’évacuer le trop d'énergie de son corps - sans quoi elle se trouve souvent incapable de dormir la nuit. Plus jeune elle faisait de la gymnastique et de l’athlétisme, et elle continua à s’entrainer pendant sa scolarité à Poudlard. Après des années d'hésitation parce qu’elle ne sentait pas légitime, elle passa les essais pour l’équipe de Quidditch de Gryffondor au début de sa cinquième année, et fut prise une année en tant qu’attrapeuse remplaçante où elle ne joua aucun match - à son grand soulagement - avant d’être nommée Attrapeuse principale sur sa sixième et septième année.
Sa maigreur relative la complexe beaucoup et elle a tendance à vouloir cacher ça sous des vêtements amples. La robe de son uniforme est particulièrement grande et elle est en est ravie. Elle se maquille de temps en temps pour s’amuser mais est souvent trop en retard le matin pour le faire quotidiennement.
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••• DERRIÈRE L'ECRAN ••• HÉ OUI, C'EST BIEN MOI ! ~ Pseudo • Simetrah ~ Double-Compte ? • Nope ~ ge • 25 ans ~ Comment avez-vous connu le Forum ? • Par Cali, et je suis déjà venue à deux reprises avec un autre perso, Eleonora Valelian :3 ~ Votre Avis ? • Rien à jeter ~ Code Règlement • Sous « Hide » | BASES BY RAINBOWSMILE & REMANIEMENTS + CODES LIENS BY CALICOT En raison des énormes changements de codes exécutés par mes soins, Merci de ne pas réutiliser ces codes en dehors du Forum Mutatis Mutandis Calicot |
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